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JOYEUSES FÊTES!

21 décembre 2022 Richard Delisle

NÉGOCIATIONS DU SECTEUR PUBLIC DANS L’ÉDUCATION – UN DÉPÔT PATRONAL QUI MANQUE DE SUBSTANCE

 

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19 décembre 2022 Richard Delisle

Les « offres » du gouvernement au Front commun : une grave insulte pour 420 000 travailleuses et travailleuses des services publics

En savoir plus…

15 décembre 2022 Richard Delisle

Réaction du Front commun aux offres du gouvernement Appauvrir les travailleuses et les travailleurs des services publics, la pire des solutions

« Les services publics font face à une crise de main-d’œuvre sans précédent, à laquelle s’ajoute une inflation historique. Que fait le gouvernement? Il offre d’appauvrir les femmes, en majorité, et les hommes qui portent sur leurs épaules tout le poids de nos réseaux publics. » C’est en ces termes qu’ont réagi les porte-parole du Front commun, François Enault, premier vice-président de la CSN, Éric Gingras, président de la CSQ, Daniel Boyer, président de la FTQ, et Robert Comeau, président de l’APTS, après avoir pris connaissance des offres du gouvernement caquiste.

Salaires

Dans ses offres présentées ce matin aux partenaires du Front commun, le gouvernement propose des augmentations faméliques de 3 % pour la première année et de 1,5 % pour les suivantes, pour un contrat de 5 ans. Qui plus est, il fait fi de l’inflation stratosphérique actuelle en ne présentant aucune mesure permettant une protection du pouvoir d’achat. Quant au montant forfaitaire proposé de 1 000 $, il est insultant pour les femmes et les hommes qui tiennent à bout de bras les services publics puisque ces sommes ne sont versées qu’une seule fois et ne sont pas calculées lorsque vient le temps de comptabiliser les revenus de retraite et les vacances. Il ne s’agit pas d’une solution structurante pour résoudre la pénurie de main-d’œuvre.
L’offre salariale du gouvernement est non seulement inférieure à ce qui va être offert dans le privé, mais va provoquer un appauvrissement des travailleuses et des travailleurs, car les prévisions d’inflation du gouvernement sont largement supérieures à ce qui est sur la table. Alors que le gouvernement prévoit une inflation de 6,8 % en 2022, son offre de 3 % à la première année ne permettra pas aux personnes salariées de se protéger de la hausse du coût de la vie.
« Est-ce que le gouvernement est sérieux quand il affirme que les services publics sont importants? Si oui, pourquoi maintient-il les réseaux en situation d’échec? Pourquoi offre-t-il si peu sachant que les salaires des autres travailleuses et travailleurs vont augmenter davantage? Les deux dernières années de pandémie nous ont pourtant offert un cruel constat de ce qui ne tourne pas rond dans nos services publics. En mettant sur la table des conditions de travail si désavantageuses, c’est la pénurie de main-d’œuvre et tous les problèmes qu’elle engendre qu’il choisit de pérenniser », ont ajouté les porte-parole du Front commun.
Rappelons que les travailleuses et les travailleurs des services publics accusent un retard de 3,9 % de leur rémunération globale par rapport aux autres travailleuses et travailleurs québécois, un gouffre qui s’élève à 11,9 % en ce qui concerne les salaires. « Devant de tels chiffres, pensez-vous que les gens vont choisir les services publics ou des emplois offrant de meilleures conditions? Ce n’est pas au personnel des services publics de faire encore une fois les frais de la reprise économique ou de la lutte contre l’inflation. Va-t-on demander à nos membres – des femmes, à 78% – de se serrer la ceinture encore une fois pour favoriser la reprise économique? Si le gouvernement est sérieux dans sa volonté d’apporter des solutions durables pour les services à la population, il devra retourner à la table à dessin et reconsidérer ses offres », ont précisé les porte-parole.
Le Front commun revendique, d’une part, un mécanisme permanent de protection contre l’inflation et, d’autre part, un enrichissement visant un rattrapage salarial général. Ainsi, pour l’année 2023, il revendique 100 $ par semaine ou l’IPC + 2 % (selon la formule la plus avantageuse), pour 2024, l’IPC + 3 %, et finalement, pour 2025, l’IPC + 4 %.

Retraite

Le gouvernement cible de surcroît la retraite, une des dernières conditions de travail intéressantes pour les travailleuses et les travailleurs de l’État, en obligeant celles et ceux ayant 35 ans de carrière à attendre à 57 ans avant la prise de leur retraite. « Il ne s’agit pas d’une mesure de rétention, mais plutôt de détention. Cela risque de provoquer un exode prématuré des travailleuses et des travailleurs vers la retraite. » Le Front commun juge toutefois intéressante la réponse du gouvernement à nos revendications dans le but de maintenir l’expertise en place de manière volontaire.
Il s’attaque aussi au Régime de retraite des employés du gouvernement et des organismes publics (RREGOP), une mesure qui réussit tant bien que mal à retenir les personnes œuvrant depuis plus longtemps dans les réseaux. Il propose ainsi de réduire la rente du RREGOP en invoquant la récente bonification du Régime de rentes du Québec (RRQ). « Ce qu’il donne d’une main, l’employeur veut le reprendre de l’autre en prétextant qu’il est trop généreux. »

Forums patronaux et intersyndicaux

Le gouvernement revient avec des forums parallèles aux tables de négociation alors que les organisations syndicales avaient unanimement rejeté cette formule à la dernière ronde de négociations.

Conditions de travail et de pratique

Finalement, en ce qui concerne les conditions de travail, le Front commun surveillera de près les offres qui seront déposées aux diverses tables sectorielles à partir d’aujourd’hui et d’ici le congé des fêtes. « Il faut que des sommes significatives soient investies pour permettre des améliorations concrètes et durables dans les réseaux de l’éducation, de la santé et des services sociaux ainsi qu’en enseignement supérieur. Il serait impensable que le gouvernement choisisse de sabrer les conditions de travail en imposant des reculs. Ce serait complètement incohérent avec les constats généralisés concernant les services publics. Si le gouvernement souhaite redevenir un employeur de choix comme il le prétend, il doit donner le coup de barre nécessaire pour renverser la tendance. C’est l’avenir même des services publics qui en dépend. »

Statistiques pour mieux comprendre les enjeux de cette négociation

  • Moyenne salariale des employées et employés du secteur public membres du Front commun : 43 916 $;
  • Retard salarial : -11,9 %;
  • Retard de rémunération globale : -3,9 %;
  • Pourcentage de femmes parmi les membres du Front commun : 78 %.
15 décembre 2022 Richard Delisle

RAPPORT SYNTHÈSE-États Généraux

Le livre vert sur les états généraux du SCFP-Québec est maintenant disponible en ligne. Vous le trouverez en cliquant sur ce lien : LIVRE VERT

Vous pouvez dès maintenant revoir la séance de Facebook LIVE sur le livre vert qui s’est tenu le 23 novembre à 18h30 sur le compte du SCFP-Québec dans lequel vous retrouvez Patrick Gloutney, Président du SCFP-Québec et Frédéric Brisson, secrétaire général qui présente le document.

  • Voici le lien pour vous y rendre : https://fb.watch/h0z7qiPmif/.
  • Vous pouvez également utiliser le code QR pour un accès direct via vos téléphones cellulaires.

Toutes les informations se retrouvent sur le site internet du SCFP-Québec dans la section « Documents d’orientation » : https://scfp.qc.ca/documents-dorientation/

27 novembre 2022 Richard Delisle

Publicités Radio

Le Front commun a créé deux publicités radio:

 

26 novembre 2022 Richard Delisle

CONFLIT DE TRAVAIL DANS LE SECTEUR DE L’ÉDUCATION EN ONTARIO : UNE BELLE PREUVE DE LEADERSHIP ET DE SOLIDARITÉ SYNDICALE

Le 7 novembre, des membres du bureau du SCFP-Québec se sont rendus à Toronto afin de soutenir leurs collègues du secteur de l’éducation du SCFP de l’Ontario. Après l’adoption d’une loi provinciale utilisant la disposition de dérogation pour imposer une convention collective, le conflit les opposant au gouvernement Ford depuis quelques jours a connu un dénouement heureux. Rappelons que le projet de loi 28 tablait sur le recours à cette disposition pour bloquer tout recours juridique de la part de l’organisation syndicale.

« Le retrait de la loi 28 ne règle pas tout. Une entente sur une nouvelle convention collective doit être trouvée. Mais la détermination de Laura Walton, présidente du syndicat, et de son équipe leur aura permis de retrouver leurs droits fondamentaux : négocier de bonne foi et déclencher la grève si ça devient nécessaire », a affirmé Patrick Gloutney, président du SCFP-Québec.

Lors du passage des représentant(e)s du SCFP-Québec, le SCFP-Ontario se préparait à entrer dans une autre phase de ses moyens de pression. La mobilisation des membres de la section locale et du SCFP-Ontario était impressionnante, mais la solidarité de tout le mouvement syndical a permis d’exercer une pression historique sur le gouvernement, le forçant ainsi à reculer.

« Je ne me souviens pas d’avoir vu une telle solidarité entre l’ensemble des syndicats au pays, autant ceux du secteur public que ceux du privé. Attaquée, la famille syndicale a serré les rangs. Nous avons été des témoins d’un grand moment. Nous en ressortons tous plus forts, car nous savons aujourd’hui que le mouvement syndical est encore capable de se mobiliser pour faire face à un employeur qui va trop loin », a affirmé Richard Delisle, vice-président du secteur de l’éducation du SCFP-Québec.

Rappelons que l’ensemble des employé(e)s du secteur public au Québec seront eux aussi en négociation pour renouveler leur contrat

9 novembre 2022 Richard Delisle

Appuis aux travailleurs des conseils scolaires de l’Ontario

2022_11_02_Appui_SCFP_QC_Éducation_Ontario
2 novembre 2022 Richard Delisle

LE FRONT COMMUN DÉPOSE SES REVENDICATIONS

2022-10-28 - Info-négo Front commun - FR
28 octobre 2022 Richard Delisle

NÉGOCIATION DU SECTEUR PUBLIC – AU TOUR DU PERSONNEL DE SOUTIEN DES CENTRES DE SERVICES SCOLAIRES DE DÉPOSER LEURS REVENDICATIONS

Les travailleuses et travailleurs de soutien des centres de services scolaires représenté(e)s par le Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP) déposeront demain, 26 octobre, leurs revendications auprès du Comité patronal de négociation pour les centres de services scolaires francophones (CPNCF) en vue de la prochaine série de négociations pour les employé(e)s du secteur public québécois.

Selon le SCFP, cette négociation permettra l’implantation de conditions de travail plus intéressantes en réglant les problèmes récurrents d’attraction et de rétention du personnel de soutien des centres de services scolaires.

Ce dépôt de demandes découle d’une vaste consultation auprès des personnes salariées travaillant dans tous les secteurs et toutes les régions assujettis à la convention collective.

« Nos membres ont pu exprimer leurs préoccupations et suggérer des améliorations à la convention collective. Nous souhaitons que la pénurie de main-d’œuvre fasse comprendre à l’employeur la nécessité de s’adapter aux nouvelles réalités du monde du travail », a déclaré Richard Delisle, vice-président du secteur de l’éducation du SCFP-Québec.

Comptant plus de 125 000 membres au Québec, le SCFP représente quelque 12 730 membres dans le secteur de l’éducation au Québec

 

25 octobre 2022 Richard Delisle

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