Merci pour tout ce que vous faites, chaque jour.
Du 13 au 17 mai 2024,l’Association québécoise de la garde scolaire invite l’ensemble de la communauté scolaire à célébrer nos coéquipières et coéquipiers que sont le personnel technicien et le personnel éducateur en garde scolaire.
ASSEMBLÉE GÉNÉRALE DU CPSS
Voici quelques faits saillants de notre récente assemblée générale du CPSS, qui s’est tenue du 30 avril au 3 mai. Cette assemblée a été marquée par la présence de nombreux invités et le traitement de divers sujets importants, y compris les interventions de nos dirigeants et de la direction du SCFP-Québec.
Nous sommes particulièrement heureux de célébrer le retour du SCFP-2057, après plus de 18 ans d’absence. Ensemble, nous continuerons de poursuivre notre mission au bénéfice des membres du personnel de soutien scolaire.
Un coup de chapeau spécial a été donné à Éric Châteauvert, qui a été reconnu pour ses mises à jour hebdomadaires de notre page Facebook et pour les magnifiques photos prises tout au long de la semaine.
Pour couronner le tout, nous félicitons Sophie Paquin, l’heureuse gagnante du cadeau offert par Beneva lors de leur tirage
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Merci à tous pour votre participation.
Notre fierté, c’est de contribuer à la réussite éducative
Nous sommes plus de 10 000 femmes et hommes à l’œuvre dans les écoles et les collèges du Québec.
Notre fierté, c’est de contribuer à la réussite éducative des élèves et des étudiants et étudiantes – de les faire briller, grandir et évoluer.
Notre rôle est de leur donner une multitude de services et de voir au bon fonctionnement des établissements.
Nous sommes des membres du Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP) présents comme employés de soutien dans les écoles et les collèges, ainsi que comme professionnels et professionnelles de l’éducation. Nous sommes : concierge, ouvrier certifié, technicien en travaux pratiques, secrétaire, psychologue, orthophoniste, éducatrice en service de garde… parmi tant d’autres titres d’emploi.
Vous le savez, depuis nombre d’années, il manque cruellement de personnel dans les écoles du Québec. Cela entraîne un manque de services aux élèves. C’est inacceptable.
Notre charge de travail s’est constamment alourdie. Notre pouvoir d’achat et nos conditions de travail se sont grandement dégradés. Par conséquent, les centres de services scolaires et les collèges n’arrivent plus à recruter et retenir suffisamment leur personnel.
Nous sommes présentement en négociation de nos conditions de travail avec le gouvernement du Québec, qui semble encore vouloir faire fuite en avant. Il est minuit moins une pour corriger le tir. Le temps est donc venu pour nous de sortir de l’ombre. Comme le gouvernement nous ignore et ne nous entend toujours pas, nous sommes forcés d’aller vers la grève.
Nous voulons la même chose que vous : des conditions gagnantes pour faire briller les enfants du Québec. Nous comptons donc sur votre compréhension et votre appui dans nos revendications.
Au Québec, le secteur de l’éducation du Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP) regroupe 15 sections locales du soutien scolaire comptant environ 10 000 membres, quatre sections locales des collèges comptant environ 800 membres et une section locale de professionnels et professionnelles de l’éducation (SPPLRN-SCFP 5222) comptant environ 1000 membres.
Nos conventions collectives nationales sont arrivées à échéance le 31 mars 2023.
Nous faisons partie des 740 000 membres du SCFP présents à travers le Canada et des 135 000 membres du SCFP au Québec.
Le SCFP est le plus grand syndicat au Canada. Au Québec, il est le plus grand syndicat affilié à la Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec (FTQ).
Une première journée sous le signe de la solidarité…et la promesse de plusieurs autres à venir
Le soleil était à peine levé sur la ligne de piquetage du Collège de Maisonneuve à Montréal que les porte-paroles du Front commun annonçaient déjà la prochaine séquence de grève, qui se tiendra du 21 au 23 novembre 2023.
Un peu partout au Québec, nous avons été des milliers à nous faire entendre haut et fort. Nos drapeaux flottaient haut, nos trompettes et nos cris portaient loin, les klaxons étaient au rendez-vous pour nous signaler l’appui de la population en général.
Malgré notre détermination, le gouvernement ne semble pas comprendre le message. Le 29 octobre dernier, le Conseil du trésor nous présentait une offre contenant une bonification dérisoire de seulement 1,3 %. L’offre salariale, qui est passée de 9 % sur cinq ans à 10,3 % pour la même période, ne réglerait en rien les problèmes causés par l’immense retard que nous subissons. Au contraire, elle nous appauvrirait.
Si rien ne bouge à la table de négociation, il ne reste qu’une solution : montrer que nous sommes unis et forts, nous, d’une seule voix.
2023-11-06-Journal-de-la-greve-Front-commun-FR.pdf (frontcommun.org)